Monster Hunter Rise

Capcom ne rate pas une occasion d’enflammer les coeurs impatients des fans de Monster Hunter Rise. Aussi, à l’approche de la sortie de la prochaine extension intitulée Sunbreak (prévue le 30 juin), l’éditeur dévoile un nouveau monstre et une nouvelle zone pour nous mettre l’eau à la bouche. Geeknplay détaille pour vous les infos croustillantes relatives à Sunbreak.

Pénétrez dans la citadelle pour affronter Garangolm

Tout comme Iceborne avait su le faire pour Monster Hunter World, Sunbreak promet de considérables ajouts pour Monster Hunter Rise. En effet, si l’on savait déjà qu’un nouveau Hub ferait son apparirtion, nous aurons aussi la possibilité d’explorer la ville portuaire d’Elgado. De plus, plusieurs nouveaux monstres feront également leur apparition tels que le Lunagaron ou le dragon ancien Malzeno. En parallèle, certains monstres existants connaîtront des variantes.

Cependant, ce sont deux nouvelles vidéos dévoilées par Capcom qui enflamment véritablement la hype. La première concerne la nouvelle zone. Nouveau terrain de chasse où se tient un château en ruines, la Citadelle se trouve à l’interface de plusieurs biomes tels que les forêts luxuriantes et les marécages brumeux, en passant par les étendues glacées. Découvrez donc à présent cette nouvelle zone dans le trailer ci-dessous :

Enfin, la star de ces récentes annonces est clairement le Garangolm. Ce monstre simiesque possède quelques similitudes avec le Rajang et le Barroth mais dispose bien évidemment ses propres attaques et patterns. Grâce à son blindage protecteur et sa capacité à convoquer les puissances élémentaires en s’enrageant, il devrait représenter un défi de taille. Maintenant que les présentations sont faites, jetez un oeil au Garangolm via la vidéo ci-dessous :

Pour conclure, rappelons donc que la nouvelle extension de Monster Hunter Rise intitulée Sunbreak sortira le 30 juin 2022 sur Switch et PC. Êtes-vous impatients d’arpenter la Citadelle ou rêvez-vous plutôt de vous frotter au Garangolm ? Venez nous le dire en commentaires ou sur nos réseaux : Facebook et Twitter.

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